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Photo du rédacteurChristel Engström

Coup de coeur Groover : « Private Joke », premier album de LE LOUP


Depuis plus de 2 ans, la chanteuse électro-pop LE LOUP a émergé du paysage musical belge. Son 1er album est sorti le 31 janvier 2020. Elle nous offre un recueil de 12 titres décapants, mélange de couleurs, de grooves et d’émotions. LE LOUP chante en anglais, et magnifiquement.


le loup private joke

Son intitulé fait référence au prénom de l’artiste, Joke Leloux, qui se dévoile « en privé » à travers 12 titres aussi mélodieux qu’entraînants. La chanteuse s’y livre entièrement et se donne à fond, tout comme sur scène. Un nom lourd de sens pour un album qui se veut éclectique et mystérieux, aux sonorités à la fois él ec t ro-pop et acous t iques . Certaines chansons invitent à réfléchir et à se poser, et bien d’autres à s’éclater et danser.


LE LOUP en radio


Avec déjà 5 singles à son actif, elle est ou a été programmée en playlist et/ ou interviews et/ou set acoustique sur de nombreuses radios belges telles que Bel Rtl, Sud Radio, Antipode, Nostalgie, Chérie FM, VivaCité, DH Radio, Fun Radio, Maximum FM, Must FM et de nombreuses radios régionales comme Radio Emotion, Radio Quartz, Mixx FM, Ultrason, Charles King, Néo, etc.


LE LOUP sur scène


Après avoir joué à la Ferme du Biéreau (cité universitaire de Louvain-la Neuve), en live sur Fun Radio, dans plusieurs villes de Belgique, et après avoir été finaliste des Tremplins des Solidarités 2018, LE LOUP a également réalisé une prestation remarquée aux Francofolies de Spa 2019 (sélection officielle). En juillet 2019, elle a gagné le Tremplin du Festival de Ronquières (sur 230 candidats) et s’y est produite en sélection officielle le 3 août 2019. Les mois qui ont suivi ont été réservés à la finalisation de l’album. En 2020, vous pourrez d’ores et déjà la retrouver en concert le 13 mars au Studio Canal 10 à Hautrage, et le 20 juin au Bouillon Blanc, à Sensenruth. On l’attend sur plusieurs festivals d’été, et la promo ne fait que commencer !




le loup private joke

LE LOUP, profil atypique


Professeure d’éducation physique de son état (il est quasi-impossible de vivre de sa musique en Belgique), Joke ne demande qu’à s’exporter. Plaque tournante de tous les continents et de toutes les influences, les artistes de son pays subissent très fortement la concurrence des majors multinationales. Mais sa formation et sa profession lui ont fourni un ensemble d’atouts pour performer sur scène : une santé d’enfer, une condition physique hors pair, un contrôle total de la respiration, et les moyens pour sauter, courir, se mouvoir et danser… tout en chantant ! Et il faut dire que son show 2020 est décapant, décharge d’énergie contagieuse que ses fans perçoivent à fleur de peau. Ca cartonne, ça enflamme et ça donne tout le temps l’envie d’entonner les mélodies avec elle. Ses gimmicks chant sont imparables, parfois voisines du hip-hop. Ce qui n’est pas tout mais ne gâche rien, LE LOUP est jolie comme un coeur, athlétique, élégante, souriante, très accessible, sensible et attachante.


LE LOUP : « pour moi, chanter, c’est comme respirer » !


Bonjour Joke. Ta bio en 30 secondes chrono ? « Je suis belge, née le 2 octobre 1991, d’une maman néerlandophone et d’un papa francophone. J’ai donc 28 ans. Après avoir suivi un parcours d’humanités générales, j’ai fait cinq ans d’université et je suis diplômée d’un Master en Sciences de la motricité, autrement dit en éducation physique. Ma famille, que je vais revoir souvent, réside à Baudour, en Hainaut, mais j’habite et travaille à Bruxelles depuis 4 ans ». Je t’ai vue chanter à The Voice (demi-finaliste 2015) et en studio. Tout cela semble si naturel chez toi… « Je chante depuis que je suis toute petite. Je crois même que j’ai chanté avant de parler (rires) ! Je suppose que c’est quelque chose d’inné. Je chante comme je respire. Il n’y a pas vraiment d’antécédents dans ma famille, sauf mon père, qui aime assez bien chantonner, siffler... Ah oui : il y a une chose que j’ai en commun avec mes parents, c’est que nous adorons écouter de la musique en voiture ».


Durant ton enfance et ton adolescence, on t’a fait participer à des fancy-fairs, des petits galas, des concours de chant ?


(Rires). « Absolument pas. Autant je vénère la chanson, autant je n’ai jamais eu besoin de me produire devant les autres pendant ma jeunesse. Surtout en présence de mes parents, cela ne me serait pas venu à l’idée. La première fois que j’ai chanté devant eux volontairement, ce fut juste avant ma participation à The Voice 2015. Ils ne m’avaient jamais entendue auparavant » !


Mais bon, là, tout de même, tu as suivi des cours, etc. ?


« A 21 et 22 ans, j’ai participé à deux ou trois spectacles avec une troupe, ce qui m’a incité à monter sur scène et m’ouvrir vers le public. Durant mes études à Louvain-la-Neuve, j’ai aussi fait partie d’un groupe de danse : nous avons effectué des représentations en ville ou sur des scènes. J’aime tout ce qui tourne autour de la musique.


Mais la vraie révélation, ce fut tout de même The Voice. Je me sentais à l’aise, comme si je faisais cela tout naturellement. J’en tire une certaine fierté mais j’ai gardé tout même les pieds sur terre. Mon producteur a été séduit par cette participation, mais au feeling ! Je n’ai rien fait pour ça ! C’est difficile à expliquer : j’ai eu de la chance et je me suis donné les moyens d’aller loin dans l’aventure, et en même temps je me suis toujours dit que j’avais encore beaucoup de choses à apprendre. Ce qui est le cas… Il y a plus de trois ans, j’ai chanté aussi quelques covers avec un groupe : autre bonne école. Mais par après, j’ai aspiré à des projets originaux et créatifs. J’ai interprété et je le fais toujours. Mais à présent, j’écris et je compose. La moitié de mon premier album est de ma plume et cette opportunité a été vraiment très enrichissante pour moi ».


On finit avec tes airs de prédilection ?


Franchement, je suis très éclectique : j’aime presque tous les styles. Le moment où j’écoute le plus de musiques, c’est quand je suis sur la route… et j’y suis assez souvent. Quand je conduis, mon esprit s’ouvre complètement : de la soul music au rock en passant par la pop… tout y passe ! Mais j’aime particulièrement des groupes belges comme Puggy et Hooverphonic. J’ai été baignée depuis mon enfance dans la musique. J’ai goûté à tout. Evidemment, j’ai été fort séduite par les compos que m’a proposées mon producteur (Claude Nobels) au départ, et par le travail artistique et d’arrangements de Nicolas D’Avell, puis de Didier Dessers, qui ont tous deux apporté une configuration très actuelle au contenu musical des chansons.

Et je suis tellement contente de prester avec Morgan Denys (guitares) et Jérémie De Grom (batterie, pads). On forme une super-bonne équipe ».


Mais, en tant qu’artiste, tu te sens responsable de ton 1er album ?


Complètement. J’ai écrit 6 titres sur 12, et j’ai été totalement en osmose avec les autres compos qui m’ont été offertes, en cadeaux. La route sera longue mais j’y crois. Et je pense que je suis bien entourée.




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